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The Ladies Bank

23 Juin 2016

Une épargne tout terrain avec l’assurance vie

Besoin d’épargner pour préparer un projet, anticiper votre retraite ou transmettre un patrimoine ? Quel que soit votre objectif, l’assurance vie peut permettre d’y répondre, dans un cadre fiscal très attractif. On fait le point.

Souplesse à tous les niveaux

Vous entendez souvent que l’assurance vie est « le placement préféré des Français » ? Ce n’est pas un hasard ! Pour commencer, ce produit est le seul du marché qui permet d’investir sur des supports variés comme le fonds en euros (garantissant la sécurité du capital) ou des unités de compte (ayant comme supports des actions et des obligations permettant de bénéficier du potentiel des marchés financiers).

Autre atout : la possibilité, à tout moment, d’alimenter votre contrat et d’effectuer des arbitrages d’un support à un autre sans fiscalité. Une somme importante reçue en héritage vous permet de prendre plus de risques ? Pourquoi ne pas augmenter la part de vos avoirs investis sur le support en unités de compte de votre contrat ? Vous approchez de la retraite ? Rien ne vous empêche de sécuriser vos avoirs en les recentrant progressivement sur le fonds en euros.

Enfin, les sommes investies sur une assurance vie sont entièrement disponibles : vous avez la possibilité d’effectuer un retrait partiel ou total à tout moment, en fonction de vos besoins.

Résultat : que vous soyez très ou peu sensible au risque, que votre horizon de placement soit proche ou lointain, il existe une assurance vie faite pour vous.

> Lire aussi : « J’apprends à placer mon argent sur une assurance vie »

Un cadre fiscal attractif

Avec l’assurance vie, c’est simple : seules les plus-values générées par vos versements sont imposées, en cas de retrait uniquement* et à un taux dégressif selon la durée de détention de votre contrat. Ainsi, tout retrait effectué au bout de 8 ans de contrat est soumis à l’impôt sur le revenu ou au prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) au taux de 7,5 % seulement, et après un abattement de 4 600 € pour une personne seule**. En d’autres termes, un rachat avec une plus-value inférieure ou égale à 4 600 € ne sera pas imposable (hors prélèvements sociaux). Idéal pour maîtriser votre fiscalité.

Un outil de transmission

Vous souhaitez augmenter la part de votre conjoint au moment de votre succession, favoriser un enfant fragile ou transmettre un capital à une personne qui ne peut hériter de vous, comme votre concubin ? Avec l’assurance vie, c’est possible. La clause bénéficiaire de votre contrat permet de désigner la ou les personnes qui percevront le capital à votre décès.

Transmis hors succession, ce capital bénéficie d’abattements plus importants et reste soumis à des taux d’imposition inférieurs aux droits de succession (dans la mesure où vous effectuez vos versements avant 70 ans).

> Lire aussi : « Avec l’assurance vie, je transmets un patrimoine à mon concubin »

> Lire aussi : « Le contrat de capitalisation pour réduire votre ISF »

Diversité des modes de gestion

Souscrire une assurance vie, c’est aussi choisir le mode de gestion le plus adapté à vos compétences et à votre situation.

  • Investisseur aguerri, vous avez le temps et les connaissances nécessaires pour gérer seule votre contrat d’assurance vie ? Optez pour la gestion libre.
  • Vous voulez bénéficier d’éclairages d’experts pour valoriser votre patrimoine mais souhaitez garder la main sur votre contrat ? La gestion conseillée est faite pour vous.
  • Enfin, si vous préférez confier entièrement la gestion de votre contrat à des spécialistes, une seule solution : la gestion sous mandat.

> Besoin d’en savoir plus ? Contactez-nous !


Cet article est rédigé en partenariat avec les experts Oddo

* Sauf prélèvements sociaux, prélevés à la source chaque année sur les intérêts générés par le fonds en euros de votre contrat
** Le double pour un couple soumis à une imposition commune, soit 9 200 €

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