Des réseaux au féminin ? “Il en existe plus de 500, avec des prix d’entrée oscillant en moyenne entre 50 et 100 euros“, rapporte Emmanuelle Gagliardi, coauteure de Réseaux au féminin (Eyrolles).
Pourtant, ce genre d’initiatives continue de faire des émules, comme Co-Women, lancé il y a un an par Julie Réjean.
Ce dernier est né d’un double constat : que ce soit en entreprise ou dans l’entrepreneuriat, la route des femmes sera semée d’embûches.
- Dans les premières, certaines seront discriminées au niveau des augmentations, d’autres culpabilisées pour être maman ou vouloir des enfants, trop souvent absentes des comités de direction.
- En solo, elles risquent de se voir enfermées dans des cases quand il s’agira de lever des fonds, à la fois isolées au quotidien et mises en compétition les unes faces aux autres.