Journée internationale des droits des femmes : pourquoi ? comment ?

Le 8 mars marque une date importante dans le calendrier : la Journée mondiale des droits des femmes. À l’école, au travail, dans les communes et les administrations, c’est l’occasion de se mobiliser en faveur de l’égalité femmes-hommes à tous les niveaux. Le thème de l’édition 2024, « Investir en faveur des femmes : accélérer le rythme », met en lumière la nécessité d’augmenter les financements qui feront de l’égalité des genres une réalité d’ici 2030. Petit décryptage d’une grande journée.

Luttes ouvrières 

La Journée internationale des droits des femmes trouve son origine au début du XXe siècle, dans les luttes des ouvrières et des suffragettes en Europe et en Amérique du Nord pour de meilleures conditions de travail et le droit de vote. Les suffragettes sont les militantes de la Women’s Social and Political Union, une organisation créée en 1903 pour revendiquer le droit de vote des femmes au Royaume-Uni.

C’est en 1910, lors de la deuxième Conférence internationale des femmes socialistes à Copenhague, que Clara Zetkin, journaliste allemande, milite pour la création d’une journée de mobilisation annuelle en faveur des droits des femmes. Elle est célébrée dès le 19 mars 1911 en Autriche, en Allemagne, au Danemark et en Suisse.

Après la Révolution russe de 1917, la date du 8 mars est adoptée pour commémorer cette journée, en hommage notamment à la grève des ouvrières de Petrograd (Saint-Pétersbourg) qui a marqué le début de la révolte.

En 1977, l’ONU (Organisation des nations unies) officialise cette Journée, encourageant ainsi tous les pays du monde à célébrer les droits des femmes.

Année d’obtention du droit de vote et du droit d’ouvrir un compte dans quelques pays occidentaux

Pays Droit de vote Droit d’ouvrir un compte en banque
États-Unis 1920 1974
Royaume-Uni 1918 1975
France 1944 1965
Allemagne 1918 1962
Italie 1945 1963
Canada 1918 1964
Australie 1902 1960

Le saviez-vous ? Le premier pays au monde à accorder le droit de vote aux femmes fut la Nouvelle-Zélande, en 1893 (Source : Wikipédia)

Agir, sensibiliser, se mobiliser

Le 8 mars est une journée de rassemblements et l’occasion de faire le point sur la situation des droits des femmes dans le monde. Marches et manifestations, conférences et débats, remises de prix, expositions et spectacles, événements en ligne, campagnes de sensibilisation… de nombreuses initiatives ont lieu pour célébrer les victoires et les acquis mais aussi, continuer à revendiquer une plus grande place des femmes dans tous les domaines de la société : économie, politique, technologie, création artistique…

Du chemin reste à faire

En 2023, les femmes ont gagné en moyenne 15,4 % de moins que les hommes. À poste et temps de travail équivalents, leur salaire est 5,3 % inférieur à celui de leurs homologues masculins1.

1Source : Start Les Echos, données France

Investir en faveur des femmes 

Chaque année, l’ONU fixe une thématique pour la Journée des droits des femmes et le thème retenu pour 2024 est : « Investir en faveur des femmes : accélérer le rythme ».

Il met l’accent sur l’un des principaux obstacles à la réalisation de l’égalité des sexes d’ici 2030, à savoir : le manque alarmant de financements pour lutter contre la précarité des femmes et des filles et soutenir les initiatives des associations dédiées à l’émancipation féminine. Selon l’ONU, le déficit des dépenses consacrées aux mesures en faveur de l’égalité des genres s’élève à 360 milliards de dollars par an.

Afin d’encourager et d’orienter la mobilisation autour de ce thème, l’ONU a identifié cinq axes-clés contribuant à davantage d’inclusion et à une meilleure protection sociale et économique des femmes :

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The Ladies Bank soutient le prix Business with Attitude

Depuis 2016, The Ladies Bank by Oddo BHF est partenaire du prix Business with Attitude de Madame Figaro en faveur de l’entrepreneuriat féminin.

Conçu comme un accélérateur de talents, ce prix révèle chaque année cinq entrepreneures à impact sélectionnées parmi plus d’une centaine de dossiers de candidature. Elles bénéficient d’un programme de soutien sur mesure incluant notamment : un plan d’accélération avec Google for Startups, une formation aux stratégies d’impact positif, un entraînement au pitch de la levée de fonds et un coaching en art oratoire.

La lauréate profite en outre d’une médiatisation d’un an au sein de l’écosystème du Figaro (dont Figaro Économie et Figaro Entrepreneurs). En plus du prix Business with Attitude, sont décernés le prix Coup de cœur du public et le prix Potentielles pour soutenir un projet moins visible.

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Les conseils financiers de The Ladies Bank aux femmes, dans les pages de Madame Figaro : comment bien placer son argent ?

Alix de Renty, co-fondatrice de The Ladies Bank et banquière privée chez ODDO BHF Banque Privée, présente aux femmes soucieuses de prendre soin de leur argent, les bonnes pratiques en termes d’épargne et de bonne gestion financière.

Tout le monde, ou presque, peut épargner.

Quels que soient son âge, son métier, son profil ou ses revenus, chacun peut économiser, même quelques dizaines d’euros par mois.

La preuve : on trouve des applications de gestion de budget et des cartes bancaires dédiées aux adolescents, qui visent à les sensibiliser à la gestion de leur argent de poche. De quoi, peut-être, poser les bonnes bases pour le début de leur vie active. Car en matière de placement, plus on s’y prend tôt, mieux c’est. Il s’agit moins d’épargner longtemps, ou beaucoup, que de laisser à son argent le temps de fructifier. On appelle cela la mécanique des intérêts composés, dont le principe est simple : les intérêts générés en 2022 s’ajoutent au capital, sur la base duquel seront calculés les intérêts de 2023, et ainsi de suite. L’épargne croît ainsi de façon exponentielle et génère davantage si elle a été constituée tôt. Encore faut-il, pour se lancer, dompter la jungle des livrets, PEA et autres PER, qu’on utilisera différemment selon son âge, ses revenus et ses besoins. Alix de Renty, banquière privée et cofondatrice de The Ladies Bank, nous aide à y voir plus clair.

En début de carrière

Dès ses premiers salaires, la bonne habitude à prendre est de suivre son budget pour connaître le montant dont on dispose en dehors de ses charges.

« On pioche dans cette enveloppe de quoi financer nos projets : les vacances de l’été prochain, peut-être une voiture dans trois ans et un logement dans cinq », explique Alix de Renty.

Mais où placer ces économies ?

« Le rendement augmente avec le risque. Or, on ne prend pas de risque avec de l’argent dont on a besoin d’ici à deux ans. Misons plutôt sur les livrets A et LDDS, plafonnés à 22 950 et 12 000 €, avec un taux d’intérêt à 2 %. »

Le plan d’épargne retraite (PER) est aussi une très bonne piste dès le début de sa carrière, car on bénéficie d’avantages fiscaux, donc d’économies immédiates sur l’argent qu’on y place. Et, là encore, quel que soit le produit d’épargne, cette fameuse mécanique des intérêts composés joue en votre faveur. Placer 200 euros par mois de 25 à 40 ans et laisser cet argent investi à un taux annuel de 5 % par an rapportera plus au moment du départ à la retraite que d’investir le même montant (200 euros par mois) entre 40 et 65 ans. Dans le premier scénario, on disposera de 180 000 euros à 65 ans, contre 120 000 euros dans le second. Le tout, en ayant épargné moitié moins, pendant quinze ans au lieu de vingt-cinq.

« Enfin, acheter son logement reste une priorité, quitte à franchir le périphérique pour revendre et acquérir plus proche, ou plus grand, quelques années plus tard », encourage Alix de Renty.

À partir de 40 ans

Entre-temps, votre carrière aura accéléré, vous aurez peut-être fondé une famille, et, si vous avez commencé à épargner tôt, économisé de quoi financer les études de vos enfants.

« Voilà le moment de se projeter à long terme, de placer de l’argent dont on n’aura pas besoin avant au moins huit ans. »

Soit la durée d’immobilisation de l’épargne pour la plupart des divers placements rémunérateurs. On peut investir dans des entreprises cotées en Bourse ou non (on parle alors de private equity) via sa banque de détail, un fonds d’investissement ou un gestionnaire d’actifs. D’autres, plus avertis, financent directement l’entreprise d’un proche, par exemple. Concrètement, il s’agit d’ouvrir un plan d’épargne en actions – cotées ou non – sur lequel on peut placer jusqu’à 150 000 € par personne, qui doivent représenter 25 % du capital de la société au maximum. « Si l’on retire son argent après cinq ans, on ne paie que les prélèvements sociaux, de 17,2 %, sur les produits générés au sein du PEA, précise Alix de Renty. Ce type d’investissement peut très bien fonctionner, mais présente un risque élevé. Mieux vaut très bien connaître le fondateur et son secteur d’activité. »

Autre option : placer son argent via des plateformes de finance participative comme MiiMosa (miimosa.com), spécialisée dans l’agriculture, Lita.co ou encore Lendosphère (lendosphère.com), qui cible les énergies renouvelables. Autre possibilité, l’une des favorites des Français : l’assurance-vie. « L’argent placé reste accessible, et tant qu’on achète et vend à l’intérieur de son contrat sans retirer ses fonds, on ne paie pas d’impôts, explique Alix de Renty. On appelle cela le principe de capitalisation. »

Même lorsqu’on retire de l’argent – chaque année après sa retraite, par exemple –, la fiscalité est réduite, dégressive et doublée d’abattements importants. Le tout à condition d’avoir attendu au moins huit ans pour toucher son argent. Ceux qui auront besoin de liquidités plus tôt privilégieront un compte-titres, plus accessible.

« L’assurance-vie est vraiment conçue pour offrir un complément de revenus après la fin de sa carrière », insiste Alix de Renty.

D’où l’importance de se poser les bonnes questions avant de souscrire son contrat, pour choisir le plus adapté à son profil et à son projet. Quel montant faut-il verser au départ, puis chaque mois ? Dans quelle classe d’actifs puis-je investir via mon assurance vie ? À combien s’élèvent les divers frais d’entrée, puis de gestion administrative, financière et d’arbitrage ? Se renseigner sur ces coûts permet de se projeter dans l’avenir sans mauvaise surprise… à condition d’anticiper ses revenus avec la même précision. « Je recommande un audit de retraite pour connaître le montant de sa future pension, poursuit Alix de Renty. Cela coûte entre 2 000 et 5 000 €, mais il s’agit d’un investissement indispensable, si on peut se le permettre. » Le faire vers ses 50 ans laisse le temps de réajuster ses placements si nécessaire.

Si vous êtes entrepreneur

« Quand on dirige une entreprise, la clé est d’anticiper tous les dénouements possibles. »

Que se passe-t-il si un associé quitte le navire ? Et s’il décède ? À quoi auront droit son conjoint et ses enfants ? Se poser ces questions dès le départ permet de bien préparer son pacte d’actionnaires avec un avocat, pour prévoir tous les scénarios.

« Plus on anticipe ces situations, moins elles tourneront au drame le moment venu », encourage Alix de Renty. L’autre enjeu réside dans la structuration de ses patrimoines professionnel et personnel. « On peut détenir son entreprise directement ou bien via une holding, ou encore dans un plan d’épargne en actions, si l’on détient moins de 25 % du capital. » De cela dépend la fiscalité qui nous incombe lors de la cession. Percevoir une partie de la somme directement et une autre via une holding permet de bénéficier d’une fiscalité réduite. « La holding peut devenir une sorte de tirelire pour réinvestir ailleurs ou créer un fonds de dotation, par exemple. Elle est aussi un très bel outil de transmission. »

Malgré tout, la complexité de ces mécanismes et l’importance des enjeux méritent de se faire accompagner et conseiller, peut-être plus encore pour les femmes, au vu des écarts patrimoniaux liés au genre, qui sont d’ailleurs l’une des motivations premières de la création de The Ladies Bank.

En fin de carrière

Voilà un autre chantier à anticiper : l’héritage. Là aussi, le dialogue est primordial pour répartir son patrimoine selon les besoins de ses enfants et petits-enfants. On peut commencer à le faire de son vivant par des donations ou en confiant la nue-propriété de ses biens immobiliers, par exemple.

« Mais attention à ne pas se démunir non plus, avertit Alix de Renty, au risque de manquer de fonds pour financer sa propre retraite. »

La plupart des épargnants piocheront dans leur assurance-vie, une fois par an, pour compléter leur pension mensuelle.

« Attention, toutefois : on ne peut plus prendre les mêmes risques à 60 ans, lorsqu’on a besoin de cet argent, que lorsqu’on l’a placé vingt ans plus tôt. »

« Je conseille de prendre rendez-vous avec son courtier ou son gestionnaire pour réajuster son contrat. L’idéal est de diviser son argent en deux, selon qu’on en ait besoin avant ou après cinq ans, et de placer la première partie sur des placements moins risqués que la seconde. »

Les sommes placées à long terme financeront, à l’avenir, sa dépendance, qu’il s’agisse de soins à domicile ou d’une résidence. Là aussi, l’anticipation est primordiale pour épargner les fonds nécessaires. Et s’éviter, à soi comme à ses proches, des soucis à venir.

Source : Madame Figaro

L’émancipation financière des femmes en France : une brève histoire

Aujourd’hui, mesdames, vous gérez votre argent comme bon vous semble. Mais il n’en a pas toujours été ainsi. À l’instar d’autres droits, comme celui de passer le baccalauréat ou le droit de vote, les femmes en France ont dû attendre longtemps avant de pouvoir ouvrir un compte, épargner ou dépenser leur argent en toute liberté. Petit retour en arrière à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes.

La loi qui a changé la vie des Françaises

En matière d’indépendance financière des femmes, s’il y a une date à retenir, c’est le 13 juillet 1965. Ce jour-là, le Parlement vote une loi autorisant les femmes à ouvrir un compte bancaire en leur nom et à travailler sans le consentement de leur mari.

Il y a 54 ans à peine, les femmes mariées devaient donc présenter une « autorisation maritale » pour ouvrir un compte ou signer un contrat de travail. Et ce, alors qu’un tiers d’entre elles exerçait une activité professionnelle ! Les femmes célibataires ou veuves, elles, jouissaient de la même autonomie que les clients masculins.

De la femme « incapable majeure » à la femme « non assistée »

Pour retracer l’histoire de l’émancipation financière des femmes en France, il faut remonter à 1881. Cette année-là, une loi autorise les femmes à ouvrir un livret d’épargne en toute autonomie. Une mesure renforcée par une autre loi apparue 14 ans plus tard, et qui leur permet d’y effectuer des versements et retraits sans l’aval de leur mari.

Jusque-là consacrées « incapables majeures » par le code Napoléonien, les femmes ne pouvaient pas gérer leur épargne seules. Les lois de 1881 et 1895 abandonnent cette notion au profit d’une autre : celle de femme « non assistée de son mari », mention qui sera apposée sur les livrets de caisse d’épargne ouverts par les femmes mariées.

Puis en 1907, une autre révolution se produit : les femmes obtiennent le droit de disposer de leur salaire comme elles l’entendent.  

Quand la guerre fait évoluer les mentalités

Le mouvement d’émancipation financière des femmes en France a été accéléré par les conflits majeurs du XXe siècle. En particulier, la Première guerre mondiale (1914-1918) a conduit les femmes à entrer massivement sur le marché du travail et à gérer le quotidien sans les hommes, partis au front. L’enjeu était avant tout économique : en ces temps difficiles, il fallait trouver le moyen de soutenir le développement commercial et industriel de la France. Appelées en renfort dans les bureaux comme sur les lignes de production, les femmes mariées ont aussi bénéficié, pendant cette période, de procurations les autorisant à gérer l’argent du compte de leur mari.

Durant la Seconde guerre mondiale (1939-1945), les femmes ont également été amenées à poursuivre l’exploitation agricole tenue par leur famille. C’est aussi durant cette guerre qu’elles ont obtenu le droit de vote, par ordonnance signée le 21 avril 1944 par le Général de Gaulle.

Offensive de charme

Alors que les femmes accèdent progressivement à l’indépendance financière, les banques déploient tout un arsenal de communication pour les séduire. Le potentiel commercial est important : en 1965, année charnière pour la bancarisation féminine en France, 40 % des femmes travaillent.

Affiches, brochures, pages publicitaires dans les magazines féminins… les femmes sont invitées à ouvrir un compte, à placer leurs bijoux dans les coffres-forts des banques, à glisser un chéquier dans leur sac à main, et même à souscrire un emprunt ! Des supports pédagogiques dédiés « Les femmes et la banque » voient le jour dans les années 1960, pour contribuer à l’éducation financière des femmes. De nos jours, les banques continuent de s’adapter à leur clientèle féminine, en lui proposant des services spécifiques pour mieux répondre à ses besoins et mieux l’informer.

Alors terminé, le combat pour la parité entre les femmes et les hommes ? Hélas non. Si l’égalité est aujourd’hui inscrite dans la loi, dans les faits, les iniquités persistent. Un exemple1 : en France, les femmes gagnent toujours près de 20 % de moins que les hommes, alors que la loi impose l’égalité de rémunération pour un même travail depuis… 1946.

1Source : 
https://www.inegalites.fr/Les-inegalites-de-salaires-entre-les-femmes-et-les-hommes-etat-des-lieux

Signature à distance des actes notariés

Un décret paru samedi dernier au JO autorise les notaires à établir un acte notarié sur support électronique, sans la présence ou la représentation de toutes les personnes concourant à l’acte.

Il précise « chacun des notaires recueille le consentement et la signature de la partie ou de la personne concourant à l’acte puis y appose sa propre signature. L’acte est parfait lorsque le notaire y appose sa signature électronique sécurisée. »

Cette mesure est favorable au secteur immobilier et en particulier aux ventes dans le neuf ou en l’état de construction rendues impossibles par le confinement.

Elle facilitera aussi les transactions dans l’ancien pour lesquelles le recours aux procurations n’était pas toujours satisfaisant.

Enfin, c’est une bonne nouvelle pour toutes les personnes déjà engagées dans un processus de vente ou d’achat.

En pratique, les notaires dont les Etudes ne sont pas toujours équipées de système de visioconférence, vont devoir s’organiser pour mutualiser leurs outils.

La mesure s’appliquera jusqu’à l’expiration du délai d’un mois suivant la fin de l’état d’urgence sanitaire.

The Ladies Bank partenaire du Prix Business With Attitude !

Vous avez créé votre entreprise il y a moins de 5 ans dans un secteur innovant ? En nous associant à Madame Figaro pour la troisième fois au prix Business With Attitude, nous avons pensé à vous et souhaitons controbuer à la réalisation de vos projets !

Business With Attitude est né d’un constat simple que nous partageons :

« L’entrepreneuriat féminin n’a pas la place qu’il devrait avoir en France alors même que les talents ne manquent pas. »

Anne-Florence Schmitt, Directrice de la rédaction chez Madame Figaro

Plus qu’un concours, Madame Figaro souhaite soutenir les femmes entrepreneures, porteuses d’un concept innovant qui puissent servir d’inspiration aux autres femmes et mettre en valeur leur rôle moteur dans l’environnement économique. Pendant toute la durée du concours, un programme d’accompagnement sera organisé pour répondre à leur besoin de développement.

Les cinq finalistes des cinq catégories (Savoirs, Ensemble, Nouvelle ligne, Next techs et Génération services) choisies par les lectrices, internautes et un jury, bénéficieront de l’aide d’experts les plus pointus dans le cadre d’un programme de coaching individualisé, qui leur permettra de franchir une étape décisive de leur développement.

La gagnante sera désignée lors d’une grande soirée en mars 2020 par un jury d’exception réunissant les grands noms de l’écosystème économique, des investisseurs et influenceurs. Le prix a la vocation à lui offrir une grande visibilité grâce à la médiatisation via tous les titres du Groupe – Madame Figaro, Figaro Eco et Figaro Entrepreneurs ainsi que l’accès exceptionnel à un réseau d’experts !

N’hésitez plus, déposez votre dossier et participez à l’évènement !

Pour connaitre le détail des candidatures, c’est par ici.

The Board Network : un réseau pour féminiser les conseils d’administration

The Board Network  fédère des femmes – et déjà quelques hommes – venant de secteurs diversifiés et qui partagent  une appétence forte pour la gouvernance, avec déjà – pour la plupart – une pratique au sein de Conseils. Toutes et tous sont prêts à relever d’autres défis en acceptant de nouveaux mandats dans les conseils d’administration.

Cofondé avec un réseau partenaire, le Cercle Gouvernance et Equilibre, et lancé il y a un an avec 40 membres, The Board Network en compte aujourd’hui plus de 80.

C’est un réseau sélectif et de confiance : les membres partagent leurs expériences tout comme les opportunités de mandats qu’ils rencontrent et qui ne les concernent pas. Un mentoring d’accompagnement s’instaure des plus seniors vers les primo accédants.

C‘est avant tout un réseau efficace pour les deux parties : une douzaine de nouveaux mandats ont déjà trouvé leurs attribution.

Dans une tribune parue dans Les Echos en 2018, les fondatrices de The Board Network se disaient prêtes à accepter de nouveaux mandats. Leur objectif d’ici 2020 : trouver un nouveau mandat d’administratrice pour chaque membre et doubler, voire tripler, le nombre des membres du réseau : des femmes mais aussi des hommes qualifiés et motivés.

Retrouvez The Board Network sur LinkedIn et sur Twitter @TheBoardNetwork

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Dans le cadre de son réseau The Ladies Bank, le Groupe ODDO BHF a organisé depuis 2016 plusieurs conférences sur la loi Copé-Zimmermann du 28 janvier 2011, qui prévoit l’obligation de réserver 40 % des places des conseils d’administration à des femmes. Nous avions eu l’honneur d’accueillir entre autres Marie-Jo Zimmermann, alors députée de Moselle et co-auteure de la loi, qui nous a expliqué son combat pour l’aboutissement de cette loi.

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